promenade

darkel arriva aux plaine , on pouvait voir les plante qui danser sur elle meme , car darkel était là , on dirai que quand il est là , les plantes son heureux, meme si il est du coté du mal.

Konan apparut un peu plus loin contre un abre tete baisse elle regarda le sol s'amusait a ceuillir des fleurs. Elle regarda le ciel puis ferma les yeux et posa ses mains a terre et dit

"Il est si beau"

darkel était trop loin pour entendre konan parler pour l'instan. mais il l'avait vu et se diriga vers elle , chapeau et cap akatsuki toujours sur lui , il arriva devan l'arbre ou était konan.

"bonjours konan."

Elle regarda darkel, elle sourit et dit

"Bonjour Darkel"

Dit elle avec un petit sourire qui cachait ses marque rouge

darkel enleva son chapeau.

"tu est moin froide que la derniere foi. "

il s'assi a coté de konan.

"et tu ne souriai pas , surtout devan moi tu voulait pas sourire."

Elle arreta de sourire et dit

"je sais masi je ne sais pas comment sa se fait"

Elle le regarda

darkel regarda konan .

"entout cas , pour une akatsuki tu est bien jolie."

darkel souri un peu.

Elle le regarda avec un sourire et dit

"Pas plus que toi"

Elle continua de le regarder dans les yeux

darkel fessa un peu les yeux doux a konan.

"tres joli meme "

darkel créa une rose sans épine pour évité que konan se prenne des épine aux doigt.

"tien prend là."

Konan prit la rose. Et avec ses papier elle un petit homme de papier ainsi qu'une petit femme qui s'embrassait puis elel sourit et regarda le ciel en disant

"Merci"

darkel regarda konan toujours d'un regard joyeux et magnifique. il s'aprocha de konan , puis embrassa la magnifique femme.

*c'est sur , je l'aime.*

Konan fut chemboule elle prit darkel par le cou et continua de l'embrasser

*Je l'aime*

darkel arreta l'embrassement avec douceur.

"bon , je croit que pour se qui est de claire , ba je le suis , je t'aime. tu est la plus belle femme du monde."

Elle regarda darkel et dit

"Et si on agissait plutot?"

darkel souri. il emmena konan par terre délicatement. allonger. il continua a l'embrasser puis entre chaque embrassement on pouvait distinger cette phrase :

"pourquoi pa "